Françoise Hardy - Tant de belles choses










Présentation de l'éditeur

Françoise Hardy est partie d’une idée simple : prendre le meilleur de ces chanteurs américains qu’elle écoutait adolescente sur Radio Luxembourg et composer des hymnes pop. Le plan a bien fonctionné. Trop bien, peut-être... En quelques mois, presque contre son gré, la sage étudiante en propédeutique de lettres était devenue la nouvelle idole des teenagers européens.

De ce premier vinyle acidulé au succès immédiat, Tous les garçons et les filles de mon âge, en 1962, à ce CD de duos certifié platine le jour de sa sortie, Parenthèses, en 2006, Françoise Hardy a traversé les modes et les supports.

Elle est cette voix qui accompagne les « dimanches de la vie », pour paraphraser Queneau. La voix de ces journées où l’on réécoute en boucle L‘Éclairage ou La question, en attendant que le destin frappe à la porte.





Et si l’on s’en tient au vieil adage selon lequel une icône pop se juge à la qualité de ses fans : Étienne Daho, Jacno, Nick Drake, Benjamin Biolay, Keren Ann, Bertrand Burgalat, vous, moi…, il n’y a guère qu’une Marianne Faithfull qui puisse rivaliser, à cette altitude.

Au fil de ce riche portrait nourri d’anecdotes et d’interviews se dessine donc le mystère Françoise Hardy - mystère qui s’épaissit encore dès qu’il est conjugué au paradoxe Jacques Dutronc.

Il fallait tout le talent et la sensibilité de Pierre Mikaïloff, écrivain rock par essence (Some clichés - L'Écarlate/L’Harmattan) et exégète pop désormais incontournable (Cherchez le garçon - Scali), pour nous dresser ce portrait ou le respect le dispute à la passion.





Françoise Hardy
Tant de belles choses

(Par: Pierre Mikaïloff)
Editions: Alphé / Jean-Paul Bertrand




Rétro Jeunesse 60 (France)
Conception et réalisation: Michel Charbonneau
Production Karo Web Communications